« Le Sénégal est de plus en plus proche de la transition militaire et la tension restera vive. » L’avertissement vient des saltigués de Malango qui se disent pessimiste vue la tournure que prend la situation nationale. D’après eux, le pire est à craindre à moins que des sacrifices soient faites par chacun des sénégalais.
« Le sang va continuer de couler et le Sénégal ne retrouvera pas la paix si des sacrifices ne sont pas faites dans les brefs délais », avertit Erick Gbodossou hier, face à la presse. Et le président de l’ONG Prometra international de demander aux uns et aux autres d’accorder crédit à ses prédications. Parce que, se justifie-t-il, « Je travaille avec les grand maitres voyants depuis 1971 et 70% des prédications sont justes et vérifiées ».
Suffisant pour suggérer aux acteurs politiques et à la société civile de faire des sacrifices. « Notre organisation Prometra représente la voix des guérisseurs, celle des leaders de base. En juin dernier, ces mêmes saltigués avaient prédit, entre autre, que les événements qui vont être liés aux élections de février 2012 risquent d’être entachées de problèmes sérieux et préoccupants », rappelle Gbodossou. Qui, poursuit : « Au-delà du bain de sang, si ça doit perdurer, il y a risque d’une transition militaire.
Ainsi, ils ont préinscrit des sacrifices qu’il faut faire. Il est recommandé que les responsables politiques fassent des sacrifices de chèvre noire. Les chefs de famille fassent des sacrifices de 3 bols de Laax un mardi et de 7 gâteaux de mil un jeudi. Les responsables de communauté doivent faire un sacrifice de 7m de tissu « percale ». Aussi, espèrent-ils, que ces sacrifices soient correctement exécutés. Car, laisse entendre le président de Prometra, devant cette situation préoccupante, tous les saltigués sérères, les chefs de culte, les leaders des religions endogènes et spirituelles ont été contactés par l’organisation qu’il dirige pour revisiter « les valeurs des civilisations notamment les bois sacrés, les pangols, les Xamb, etc. », en vue de ramener la paix sociale.
Suffisant pour suggérer aux acteurs politiques et à la société civile de faire des sacrifices. « Notre organisation Prometra représente la voix des guérisseurs, celle des leaders de base. En juin dernier, ces mêmes saltigués avaient prédit, entre autre, que les événements qui vont être liés aux élections de février 2012 risquent d’être entachées de problèmes sérieux et préoccupants », rappelle Gbodossou. Qui, poursuit : « Au-delà du bain de sang, si ça doit perdurer, il y a risque d’une transition militaire.
Ainsi, ils ont préinscrit des sacrifices qu’il faut faire. Il est recommandé que les responsables politiques fassent des sacrifices de chèvre noire. Les chefs de famille fassent des sacrifices de 3 bols de Laax un mardi et de 7 gâteaux de mil un jeudi. Les responsables de communauté doivent faire un sacrifice de 7m de tissu « percale ». Aussi, espèrent-ils, que ces sacrifices soient correctement exécutés. Car, laisse entendre le président de Prometra, devant cette situation préoccupante, tous les saltigués sérères, les chefs de culte, les leaders des religions endogènes et spirituelles ont été contactés par l’organisation qu’il dirige pour revisiter « les valeurs des civilisations notamment les bois sacrés, les pangols, les Xamb, etc. », en vue de ramener la paix sociale.
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